mardi 27 décembre 2016

20161227 - «Star Wars»: Carrie Fisher, l’interprète de la princesse Leia, est décédée à l’âge de 60 ans

«Star Wars»: Carrie Fisher, l’interprète de la princesse Leia, est décédée à l’âge de 60 ans


De gauche à droite: Mark Hamill (dans le rôle de Luke Skywalker), Carrie Fisher (Princesse Leia) et Harrison Ford (Han Solo), dans «Star Wars: Episode IV». - Lucasfilm /AP Photo/Sipa
L’année 2016 et son lot de décès sur la planète people ne sont donc pas terminés.

La célèbre interprète de la princesse Leia dans la saga Star Wars s’est éteinte ce mardi à l’âge de 60 ans, selon le magazine People.

« Aimée par le monde entier »

« C’est avec une grande tristesse que Billie Lourd confirme que sa mère adorée Carrie Fisher est décédée ce [mardi] matin à 8 h 55 », a fait savoir Simon Halls, porte-parole de la famille, dans un communiqué.

« Elle était aimée par le monde entier et va terriblement nous manquer. Toute sa famille vous remercie pour vos pensées et vos prières », peut-on encore lire dans le communiqué.

L’actrice avait été victime d’une crise cardiaque ce vendredi. Elle était à bord d’un avion en provenance de Londres et à destination de l’aéroport de Los Angeles, selon des sources TMZ, lorsqu’elle a été victime d’un arrêt cardiaque une quinzaine de minutes avant l’atterrissage.

Dimanche, elle se trouvait dimanche dans un « état stable », selon sa mère, l’actrice Debbie Reynolds.

Eternelle princesse Leia

Carrie Fisher n’avait que 19 ans quand elle a incarné la princesse de la rébellion contre l’Empire aux côtés de Harrison Ford (Han Solo) et Mark Hamill (Luke Skywalker).

Elle était réapparue en décembre 2015 aux côtés de Han Solo et de Luc Skywalker dans le dernier volet de Star Wars : Le réveil de la Force.

Peu après l’annonce du décès de l’actrice, les témoignages de sympathie, venant notamment de ceux qui l’ont croisée sur les tournages, se sont multipliés.

Son acolyte Mark Hamill, le fameux Han Solo, a exprimé son désarroi sur Twitter.

« Je n’ai pas de mots #dévasté », a-t-il simplement tweeté, accompagnant son message son message d’une photo de lui en Luke Skywalker aux côtés de la princesse Leia.

Anthony Daniels, l’interprète de C3PO, a également témoigné de son chagrin sur Twitter. « Je pensais avoir eu ce que je souhaitais sous le sapin. Ce n’est pas le cas. Malgré et les pensées et les prières si nombreuses. Je suis très, très triste. »

« Je suis extrêmement triste d’apprendre la mort de Carrie. C’était extraordinaire de travailler avec elle. Mes condoléances à ses amis, sa famille, et ses fans du monde entier », a dit Dave Prowse, qui se cachait derrière le célèbre masque de Dark Vador dans la trilogie originelle.

« Je n’ai pas de mots pour décrire cette perte. Carrie était la lumière la plus étincellante partout où elle allait. Elle va terriblement me manquer », a commenté Peter Mayew, l’inimitable Chewbacca.

Ray park, alias Dark Maul, s’est dit « très triste » après avoir appris la nouvelle, souhaitant « que la force soit toujours avec elle ! »

Billy Dee Williams qui a incarné Lando Calrissian dans les épisodes V et VI de la saga, a salué la mémoire « d’une amie » qu’il « respectait et admirait ». « La force est sombre aujourd’hui ! », a-t-il dit dans un tweet.

William Shatner, qui a incarné dans « Star Trek » le capitaine Kirk, autre légende de « l’espace », regrette « qu’un talent et une lumière merveilleux se soient éteints ».

« Bonne nuit, douce princesse. Merci pour ses si joyeux souvenirs, ton héroïsme, ton talent et ton amitié… » a dit Kevin Smith, qui a fait jouer l’actrice dans Jay et Bob contre-attaquent (2001).


Avis Pimpf : D'un point de vue célébrités et personnes que j'aime bien 2016 a été la pire , Bowie en début d'année 2016 et la maintenant finir avec Carrie Fisher, ma Princesse Leia, celle dont j'ai du voir les films de la saga SW plus d'une centaine de fois ?   Oui cela fait voir que personne n'est immortel personne n'est infaillible, mais la non ça fait mal de voir ainsi une actrice qui fait partie de mes références, de cet univers que j'aime et que j'adore même partir, non 2016 a été lourd et vite que 2017 arrive pour que ce cycle s'arrête.
Elle représente pour moi le type de princesse que l'on apprécie, plus le style de princesse à la Disney ou moyen-ageuse qui attend que son prince charmant vienne la sauver, non plutôt celle qui agit en secret, prend les armes et n'hesite pas à confronter les pires représentant du mal que sont Darth Vader et Le Grand Amiral Tarkin...  Oui ce n'est qu'un rôle mais c'est celui qui m'a marqué, depuis tout petit, de même que la voir sur des films de Woody Allen ou encore des films tel que fanboys ... Pensée pour Carrie Fisher, ses proches pour tous ceux qui l'aiment... vite que 2017 débarque et que la soit plus calme...

samedi 19 novembre 2016

20161119 - News : DEDE (featuring ALAN WILDER) - NEW SINGLE RELEASE


Alan has guested on a debut single by a young and aspiring new artist, Dede, entitled ‘Calling The Clock’. It is released today (November 18th) via Smile Records.
For full details, including quotes from Alan & Dede, go to the expanded news item at Recoil’s revamped Shunt site :

20161119 - News : DEDE (featuring ALAN WILDER) - NEW SINGLE RELEASE


Alan has guested on a debut single by a young and aspiring new artist, Dede, entitled ‘Calling The Clock’. It is released today (November 18th) via Smile Records.
For full details, including quotes from Alan & Dede, go to the expanded news item at Recoil’s revamped Shunt site :

vendredi 18 novembre 2016

20161118 - News / Tous les clips de Depeche Mode dans un seul coffret DVD » OÜI FM

Tous les clips de Depeche Mode dans un seul coffret DVD » OÜI FM



 
En attendant l'album, prévu pour 2017, OÜI FM vous offre cette anthologie essentielle.
Depeche Mode étant l’un des groupes les plus emblématiques des années 80, soit la décennie qui a vu l’émergence (pour le meilleur et pour le pire) des clips musicaux sur les écrans du monde entier, il était normal qu’un jour sorte une compilation de toutes les vidéos sorties par le groupe. Innovante, avant-gardiste, provocante, en un mot révolutionnaire, la filmographie de Depeche Mode, qui s’étend par ailleurs sur désormais sur plus de 30 ans, a été réalisée par la fine fleur des réalisateurs, tous fidèles au groupe, comme par exemple Julien Temple, Anton Corbijn, D.A. Pennebaker, ou encore John Hillcoat.

« Les vidéos ont toujours joué un rôle de premier plan dans la manière dont nous voulions présenter la musique de Depeche Mode au public, «  confient les membres du groupe. « C’est extraordinaire de revenir en arrière et de revivre tous les souvenirs que nous évoquent ces vidéos après tant d’années. »
Video Singles Collection est donc le premier d’un ensemble de projets rétrospectifs approuvés par le groupe, et qui explorent l’extraordinaire carrière de Depeche Mode et son influence sur la culture pop. Ce projet constitue une première en matière de compilation de leurs vidéoclips, de 1981 à 2013, sous la forme d’une anthologie unique.

Ce coffret comporte 55 versions récemment restaurées des principaux singles vidéo qui ont fait le succès du groupe, auxquels s’ajoutent quatre autres vidéos rares ainsi que de nouveaux commentaires sur certains clips, provenant des différents membres du groupe.

dimanche 30 octobre 2016

20161030 -News : » Y étiez-vous? Depeche Mode et la comparution de Gahan à Québec, en 1993|Nicolas Houle

» Y étiez-vous? Depeche Mode et la comparution de Gahan à Québec, en 1993|Nicolas Houle



Dave Gahan, très décontracté, lors de sa comparution à Québec, en 1993 - photo Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve
À qui revient la palme d’avoir défrayé la manchette à la fois pour avoir donné un bon concert et pour avoir comparu au palais de Justice de Québec? Ni à des hard rockers, ni à des punks, ni même à des rappers, mais bien à Depeche Mode.

Le 8 septembre 1993, la formation de pop électronique amorçait le segment nord-américain du Devotional Tour à Québec. Arrivés au Château Frontenac à 1h30, dans la nuit précédant le spectacle, les Anglais ont constaté qu’il n’y avait pas d’électricité dans l’hôtel. Le personnel avait précisé aux artistes qu’il s’agissait d’une panne planifiée, mais les esprits se seraient échauffés au point où le service de sécurité a dû être appelé et un gardien a reçu un coup de tête… Les policiers sont venus calmer le jeu.

N’empêche, le jour du spectacle, le chanteur Dave Gahan et son garde du corps, Daryl Levy, ont dû se présenter -assez décontractés, avec leur friandise glacée!- au palais de justice pour voies de fait et entrave au travail des policiers. Aucune accusation n’a cependant été retenue et le concert, en soirée, s’est bien déroulé. Très bien, même: le quatuor a «littéralement soulevé ses quelques 7000 fans avec un show sans faille», écrivait Michel Bilodeau, sur les lieux pour Le Soleil.

Apparaissant d’abord derrière un rideau où la foule pouvait les voir en ombre chinoise, les musiciens ont ouvert avec Higher Love. La troupe avait opté pour une scène dépouillée où il y avait, au centre, un imposant cube sur lequel une portion des musiciens étaient installés, mais qui servait aussi de grand écran.

La foule avait accueilli chaleureusement chacune des pièces, or Bilodeau avait noté quelques oublis d’incontournables comme Blasphemous Rumors ou People Are People.

Y étiez-vous?
 



vendredi 28 octobre 2016

20161028 - 8 titres qui ont façonné la carrière de Depeche Mode - Actualités Concertlive.fr

8 titres qui ont façonné la carrière de Depeche Mode - Actualités Concertlive.fr



Depeche Mode reviendra faire vibrer les scènes françaises avec des dates en 2017 à Paris, Lille et Nice. L'occasion d'explorer en attendant les titres marquants de cette formation pionnière de l'electro-pop à l'anglaise. Mais c'est alors s'embarquer dans un périple riche en rebondissement et en arborescences. Au carrefour du post-punk anglais, des courants croisés tumultueux entre les lits des rivières rock et techno. Sur fond de relation amour/haine avec le continent américain, engendrée par le développement de la musique synthétique en Europe. 35 ans de carrière résumés en 8 chansons plus que marquantes.
  • Dreaming of me



Qui se souvient de "Dreaming of me" le premier single de Depeche Mode ? Toute l'esthétique de loulous british autant inspirés par Kraftwerk que par Abba ou Phil Spector s'y trouve pourtant déjà résumée.

Lorsqu'est commercialisé en avril 1981 ce titre écrit par Vince Clarke, qui fonda le groupe avec Martin Gore et Andrew FletcherDepeche Mode vient tout juste de recruter un autre chanteur David Gahan. Et de sortir une maquette nommée Photographic sur le label Some Bizzare.

Depeche Mode a ensuite été remarqué et signé par l'américain Daniel Miller sur son label Mute. Un label qui accueillera des stars, d'Erasure à Moby. Comme des formations bien plus expérimentales comme SPK ou Cabaret Voltaire.

Depeche Mode s'est formé à Basildon, ville nouvelle pseudo-futuriste de l'Essex, à une heure de Londres. Après des débuts avec un premier groupe rock Composition of soundDepeche Mode s'incarne par une utilisation compulsive des synthétiseurs, sur le modèle d'Orchestral Manoeuvres in The Dark.

C'est, au début des 80's, d'abord le projet de Vince Clarke. Ce chômeur nourri aux chants paroissiaux et fan de gospel manie habilement le hautbois. C'est lui qui écrit et compose les titres et veut faire de Depeche Mode son métier, ses deux comparses étant employé de banque pour Gore, dans une compagnie d'assurance pour Fletcher.

  • Just can't get enough



Premier tube authentique de Depeche Mode, successeur de l'imparable "New Life", "I just can't get enough" est un raz de marée. Depeche Mode assume à l'époque d'autant plus ses casquettes en cuir et ses mèches de garçons coiffeur qu'il rencontre un intense succès populaire auprès d'un très jeune public.

Les radios relaient ce titre aux staccatos de synthés frénétiques, la France n'est pas en reste et accueille à Paris pour la première fois le groupe aux Bains Douches le 29 septembre 1981.

C'est pourtant le moment que Vince Clarke choisit pour quitter le groupe et fonder Yazoo avec la chanteuse Alison Moyet. Vince Clarke est remplacé par Alan Wilder, recruté par petites annonces mais qui se révélera pourtant par la suite indispensable par ses qualités de producteur et d'arrangeur.

  • Everything counts



Martin Gore s'impose progressivement à l'écriture des chansons, notamment sur "Everything Counts" où il impose un clair obscur harmonique, plein de chausse trappes mélodiques distillant un spleen redoutable.

Tiré de l'album "Construction time again", après un premier recueil nommé "Speak and spell" et son successeur "A Broken Frame", "Everything Counts" mêle des inflexions quasi gothiques à des arrangements nappés de synthés aux rythmiques inflexibles.

Martin Gore et Dave Gahan y imposent chacun leurs personnages, l'un de blondinet chétif influencé par Gary Glitter, l'autre de beau brun ténébreux aux déhanchements acrobates.

  • People are people



Désormais ultra populaire, Depeche Mode profite de sa liberté. Martin Gore s'installe à Berlin Ouest, arbore publiquement une minijupe de cuir noire et un attirail sadomasochiste, reflet des préoccupations décrites dans un autre hit énorme, "Master and servant".

Il vibre aux concerts de The Birthday Party, le premier groupe de Nick Cave, qu'il a souvent l'occasion de voir dans la capitale allemande.

Martin Gore se passionne aussi pour les libertaires Einstürzende Neubauten et leurs performances abrasives pleines de crépitements métalliques. Ces derniers influencent fortement le son et l'esthétique de Depeche Mode, qui digère ces expérimentations et les restitue sous une forme dansante et aisément diffusable en radio, avec des titres comme "People are people".

Il est d'ailleurs intéressant de noter que bien des années plus tard Einstürzende Neubauten donnera l'impression d'avoir digéré à son tour la mélancolie hertzienne de Depeche Mode.

"People are people" s'avérera en tout cas un tube en Europe en 1984 mais aussi aux Etats-Unis un an plus tard. Et ce au moment même où les groupes anglais de la génération de Depeche Mode comme Duran DuranSpandau Ballet ou Kajagoogoosont laminés par le rock alternatif américain.

  • Never let me down again



Quand sort "Never let me down again", complainte languissante présente sur l'album de 1987 "Music for the masses", Depeche Mode est incontournable. "Music for masses", titre trompeur car album relativement intimiste et allant assez loin dans l'expérimentation, avec des titres oppressants comme "Behind the wheel" ou le lancinant "Little 15". N'empêche, Depeche Mode est devenu un repère.

La formation européenne a même influencé par son approche strictement synthétique des producteurs américains de house music comme Todd Terry. Toute la techno de Détroit de la fin des années 80 s'inspirera d'ailleurs ouvertement de Depeche Mode.

Le groupe est alors aux Etats-Unis en terrain conquis et leur tournée de 1988 donne même lieu à un documentaire et à un album live intitulés 101.

  • Personal Jesus



Des trois titres charnières de "Violator" en 1990, avec "Enjoy the silence" ou "Policy of truth""Personal Jesus" est probablement le classique des classiques. Chanson tellement puissante et chargée en affects qu'elle sera reprise par le pape de la countryJohnny Cash ou Marilyn Manson.

Violator, c'est l'album clef de la discographie de Depeche Mode, celui qui a changé la face de la pop music et même de la musique électronique. Celui sans lequel un groupe aussi crucial que LFO, pionnier de la techno anglaise, n'aurait probablement pas existé.

Un disque qui se vendra à plus de six millions d'exemplaires dans le monde. Générera une tournée géante à travers le globe dépassant les six mois, le "World Violator Tour", devant 1,2 million de fidèles. Un disque qui doit sa production révolutionnaire à un tandem de choc : Flood et le français François Kevorkian, déjà remarqué aux côtés de Kraftwerk pour "Electric Café".

  • Barrel of a gun



Après la montée et l'euphorie survient la descente. Violente. "Barrel of a gun", blues industriel et fangeux sur l'album "Ultra" produit en 1997 par le génie Tim Simenon de Bomb The Bass témoigne de la combustion lente qu'a subie Dave Gahan après les sommets de "Violator". On est alors en pleine vague "trip hop" mais Depeche Mode creuse son propre sillon, parallèle.

Un sillon amorcé sur l'album "Songs of faith and devotion", irrigué par des guitares bluesy poussiéreuses de sable et des saturations numériques grésillantes. La rivalité avec U2, en plein remue méninges lié à "Zooropa" suite à la déferlante "Achtung Baby", battait alors son plein. Une période où Dave Gahan sombre dans la toxicomanie et échappe de peu au suicide. Alan Wilder vient de quitter la formation (il publiera des disques sous le nom de Recoil).

Désormais, ses classiques, Depeche Mode les écrira avec le renfort de pygmalions experts en effet électroniques comme Simenon ou Mark Bell de LFO.

  • Heaven 



Figurant sur le dernier album en date de Depeche Mode, "Delta Machine" (2013), "Heaven" est une ballade lyrique et pneumatique aux accords de guitare solennels. Le groupe a changé d'époque et ne peut prétendre à des rotations lourdes sur MTV ni à des ventes de singles astronomiques.

Il a pourtant régulièrement produit d'excellents albums, notamment "Playing the angel" en 2005 et ses "John the revelator" ou "Nothing's impossible", titre pour lequel Dave Gahan, qui a sorti des disques solo, s'est lancé dans l'écriture. Comme Martin Gore et sa série de disques solo "Counterfeit".

En  2015, Dave Gahan avait même mis en pause le groupe pour se consacrer à un projet parallèle, Soulsavers. Jusqu'à l'annonce d'une tournée pharaonique coïncidant avec la sortie d'un nouvel album intitulé "Spirit".

samedi 22 octobre 2016

20161022 - Tupac, Depeche Mode et Pearl Jam bientôt au "Rock and Roll Hall of Fame" ? - LCI

Tupac, Depeche Mode et Pearl Jam bientôt au "Rock and Roll Hall of Fame" ? - LCI



#MUSIQUE: INTRONISATION. Le rappeur Tupac Shakur, les rockeurs grunge de Pearl Jam, mais aussi le groupe de New Wave Depeche Mode et l'incarnation de la chanson engagée Joan Baez sont les prétendants à entrer au temple du rock en 2017.
Parmi les 19 pressentis, seuls le rappeur décédé sous les balles et Pearl Jam étaient éligibles seulement depuis cette année. Le "Rock and Roll Hall of Fame", qui annoncera les heureux élus en décembre, est ouvert aux artistes ayant sorti leur premier single ou album il y a au moins 25 ans.

Tupac Shakur est considéré comme l'un des plus grands artistes hip-hop avec un style inimitable. Sa mort brutale, au coin d'une rue de Las Vegas en 1996, a encore ajouté à son aura et lui assure une place à part dans le cœur des amateurs de rap du monde entier.
Pearl Jam, eux, restent bien vivants et actifs avec une cohorte de fans très loyaux, après avoir conquis les foules dans les années 1990 avec un message souvent engagé et plutôt à gauche.  Nirvana, les rivaux de Seattle qui avaient un son et un message plus colérique, sont entrés dans le temple du rock dès 2014, la première année où ils étaient éligibles.

Parmi les autres nommés, on retrouve également Janet Jackson, star de plein droit et sœur du roi de la pop Michael Jackson  qui tente son entrée pour la deuxième année consécutive, Chaka Khan, la reine du funk, The Cars, eux aussi des pionniers de la New Wave et des synthés, et Chic, les titans de la disco, qui malgré 11 nominations n'ont jusqu'à présent jamais réussi à entrer au Hall of Fame. 
Cette année est aussi la toute première fois que Bad Brains, Electric Light Orchestra, Jane's Addiction, Joan Baez, Journey  Steppenwolf , et Depeche Mode, qui a annoncé la semaine dernière un nouvel album, ainsi qu'une tournée pour 2017, sont sur la liste des nommés , alors qu'ils étaient déjà éligibles avant.

Le Hall of Fame va sonder 800 experts musicaux pour départager les musiciens nommés mardi et le public aura également sa voix. Les fans peuvent voter en ligne jusqu'au 5 décembre. 

jeudi 20 octobre 2016

20161020 - Dave Gahan : "Je donne beaucoup de moi-même pour recevoir tellement en retour"

Dave Gahan : "Je donne beaucoup de moi-même pour recevoir tellement en retour"



Mathilde Courjeau du #DriveRTL2 a rencontré Dave Gahan de Depeche Mode à Milan, le lendemain de l'annonce de leur tournée, le Global Spirit Tour.
En plus de l'annonce de la tournée européenne qui comprend 32 date, Depeche Mode a aussi annoncé une tournée au États-Unis, en Amérique Latine et quelques festivals, du coup Mathilde Courjeau à demandé à Dave Gahan comment il se préparait à un tel marathon ?

"Quoique je fasse, je ne suis jamais vraiment prêt à monter sur scène et enclencher une telle tournée, et surtout je ne suis jamais prêt à ressentir cette fatigue intense après mes premiers concerts. Je m'implique énormément dans mes prestations scéniques, je ne sais faire que ça. Je donne beaucoup de moi-même pour recevoir tellement en retour ! Je dois creuser très profondément en moi  pour proposer une performance unique, une sorte d'introspection qui va de plus en plus profondément au fur et à mesure de la tournée. Au fur et à mesure de la tournée ça fatigue, alors physiquement avant je dois faire pas mal de sport, je fais du stretching et du yoga."
Ça prend du temps pour devenir un bon performer
Dave Gahan - Depeche Mode
Mais est-ce Dave Gahan ressemble à ce qu'il voulait être sur scène quand il a commencé et qui sont les idoles scéniques ?

"Ça m'a pris 15 ou 20 ans de concerts, pour arriver au point où je me suis dit, là je crois que j'y arrive, je crois que je ressemble à peu près à ce que je voulais. Il faut savoir révéler une partie intime de soi-même, c'est assez difficile, et tout ça pour être meilleur. Mais quand tu y arrive cela t'aide à vraiment montrer ce que tu veux sur scène. Ça prend du temps pour devenir un bon performer, et effectivement il y en a qu'on peut voir sur scène et c'est une espèce d'évidence, Nick Cave par exemple, est incroyable, sur scène il devient son œuvre, ses chansons, sa musique, il devient même ses paroles, je l'ai vu beaucoup sur scène et pour moi il est très impressionnant. Et David Bowie bien sûr, c'est l'artiste qui a eu le plus d'influence sur moi. "

Le nouvel album est déjà enregistré mais pas encore fini et les membres de Depeche Mode ne veulent pas encore en parler, tout ce que l'on sait c'est qu'il se nomme Spirit, qu'il sortira au printemps prochain et il y aura probablement un extrait avant Noël. 

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Pour cette dernière partie de l'entretien réalisé à Milan, Mathilde Courjeau a voulu évoquer avecDave Gahan son projet Soul Savers. Un projet qui a nourri son écriture pour Spirit et qui l'a aidé dans ses rapports avec Andrew Fletcher et Martin Gore comme il le raconte au micro de Mathilde Courjeau :

"Ecrire des chansons avec des gens qu'on ne connait pas vraiment, comme ceux de Souls Savers, c'était intéressant parce qu'on devait vraiment créer une nouvelle connection. J'en avait besoin, et c'était nécessaire pour avancer avec Depeche Mode, sans ce projet je ne sais si j'aurais été capable de retravailler avec Depeche Mode.
C'est très difficile de travailler avec Martin (Gore) même après toutes ces années, c'est de façon positive, il continue à me surprendre avec ses morceaux, à quel point ses mélodies sont bonnes, sa manière de me pousser à chanter hors de ma zone de confort, il me fait travailler plus fort, parce qu'il met la barre très haut, ça continue de me surprendre qu'à chaque fois qu'on travaille ensemble, cette magie se passe, même encore après toutes ces années. C'est vraiment passionnant."

dimanche 16 octobre 2016

20161016 - Depeche Mode, interview: Maybe it would be the death of us if we suddenly started being recognised | London Evening Standard

Depeche Mode, interview: Maybe it would be the death of us if we suddenly started being recognised | London Evening Standard



When most bands announce a new tour, adverts and emails will suffice. When it’s Depeche Mode, Europe’s media is summoned to a theatre inside the towering design museum in Milan — journalists in the stalls, while whooping fans occupy the balcony — to hear the news in person from chief songwriter Martin Gore, 55, lizard-like frontman Dave Gahan, 54, and keyboardist-slash-Easter-Island-statue Andy “Fletch” Fletcher, 55.
When most bands announce a new tour, adverts and emails will suffice. When it’s Depeche Mode, Europe’s media is summoned to a theatre inside the towering design museum inMilan — journalists in the stalls, while whooping fans occupy the balcony — to hear the news in person from chief songwriter Martin Gore, 55, lizard-like frontman Dave Gahan, 54, and keyboardist-slash-Easter-Island-statue Andy “Fletch” Fletcher, 55. Everything, from the bustling queues to obtain a silver octagonal admission lanyard to the rock-star gleam of Gahan’s ludicrous golden shoes, seems designed to remind you that this veteran group remain a very big deal.

Any fans who watched the event live on a Facebook stream on Tuesday will know that these things are sent to try us. The upbeat trio must tackle a Hungarian journalist who wants to know about their love of Hungary, an Italian who wishes to enquire whether “the rock” is “now completely dead”, and a member of the German press who just wants to see Gahan dance. For we Brits, the real news is easy to spot: next summer Depeche Mode will perform at the London Stadium in the Olympic Park, their first UK stadium appearance since a lesser event at the Crystal Palace National Sports Centre in 1993. Tickets go on sale today.

“Crystal Palace was 23 years ago. It’s another life,” Gahan tells me later. After the masses have gone, he’s giving a handful of one-to-one interviews in a curtained-off room backstage, while Gore holds court in another along the corridor. “It was suggested by our manager that it’s time for us to do something a bit bigger in England, maybe out in the open. My son Jack lives in London and is a West Ham supporter, so he was quite thrilled.”

‘I don’t know why we get to still do this. The band is much larger than the individuals involved’

The band, who emerged from Basildon in Essex at the start of the Eighties synthpop boom, have long been slightly prickly about the esteem in which they are held in their home country. Both Gahan and Gore have lived in the US for many years, in New York and Santa Barbara respectively, and it’s commonly mentioned that their menacing, tortured brand of electronic rock is far bigger in America and the rest of Europe, especially Germany, than it is here. When a map is displayed on the theatre’s screen with stars indicating the places they’ll visit on next year’s tour — 32 shows, everywhere from Lisbon to Minsk — the single London star looks rather lonely.

“I don’t think there will ever be as much adulation in Britain as there is in the rest of Europe but we have a loyal fanbase there,” says Gore. The band have been regulars at the O2 Arena since 2009, and Wembley Arena before that, so they’re hardly shadowy obscurities. “It wouldn’t be a wise decision for us to play five stadium shows in Britain. But it is time for us to play one at least.”

Gore, dressed all in black right up to his carbon-fibre wedding ring, says Depeche Mode still see themselves “as a cult band”. Selling more than 100 million albums while seeming like outsiders is a neat trick. On albums such as their biggest, 1990’s Violator, and their most recent, Delta Machine from 2013, they summon a spiritual turmoil and a dark physicality — a world in which sexiness is next to godliness — that sits far from the bright lights of the mainstream despite those sales figures. With no Grammys to their name and just one Brit Award (Best British Single for Enjoy the Silence in 1991), I mention that they’ve never had much official recognition. “Virtually none!” Gore laughs. “At the same time it doesn’t really bother us that much. Maybe it would be the death of us if we suddenly started being recognised.”

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Stadium mode: the band will play just one night in London (Anton Corbijn)
What they have got is a proper, globe-straddling rock star for a singer, which never hurts. Dave Gahan could only be more of a textbook rock and roller if he was dead, which he was for several minutes in 1996, following an accidental overdose of cocaine and heroin. Clean since then, in 2009 he had an operation to remove a cancerous tumour on his bladder and must now undergo regular intrusive checks. “I’m very good, thank you for asking,” he says when I enquire after his health. “I just recently had all my check-ups done that need to be done.” There’s one positive, he says, that he can credit to his old life as an addict: “I have a great strength, which is a denial of what’s really going on! I use that to my advantage with this. I just put it to the side until it comes around.”

Nevertheless, he needs this tour to be slightly less mammoth than the ones that have gone before, especially as there are North and South American dates still to be announced. “My one stipulation about this tour was we have to do fewer shows each week. I don’t bounce back like I used to. I really give it my all in a show. Once I’m up there, I’m in another world and I enjoy that place, but the next day I wake up to reality. The spirit is young but the body is starting to decay, let’s put it that way.”

In contrast to Gore, who wants to get questions answered as quickly as possible and whose day’s catchphrase has become “We’re not here to talk about the new album”, Gahan is a delight to chat to — fidgety and energetic and happy to ramble away, even about the new album. Next spring the band will release Spirit, their 14th. It isn’t finished yet but they can play us a minute or so of snippets which sound like a computer apocalypse, boiling over with electronic clanks, scrapes and buzzes. After three albums in a row with Ben Hillier, it’s being produced by James Ford, known for his work on albums by Arctic Monkeys and Florence + the Machine. “He’s a real sound master,” says Gore when coaxed briefly onto the subject. Gahan says: “Working with James was really refreshing. We needed it. It was time to do something different.”

The clip of new material only contains one lyric: “Where’s the revolution? Come on people you’re letting me down.” I ask if that’s the key message, as it’s the one they’re revealing right at the start. “I would say it is. It’s quite a linchpin on the album. We’re really asking that question of ourselves and of the world,” says the singer. “What’s happening? What’s happening? We’re all feeling it and none of us seems to have the answer. I would say that this album definitely reflects what’s going on outside more than what’s going on inside. And the outside world is becoming too much.”

Neither of them will get a vote in the US elections, as they don’t have US citizenship. “It’s terrifying at the moment,” says Gore. “To me it just seems like the same thing as the Brexit vote: a lot of unhappy people who aren’t quite sure what to do with that unhappiness. Before the Brexit vote, even the Leave campaign people didn’t really expect to win. And everyone’s saying Trump won’t win now. But until it’s over, I’m not gonna sleep very well.”

Whatever happens, they’ll keep on being the voice of the outsiders, with an album and tour like clockwork every four years regardless of the solo projects and family life that happen in between. “This is also another family,” says Gahan of the band and those who work with them. “I don’t know why we get to still do this. It’s something that I think has become much larger than any of the individuals that are involved in it.”

The Depeche Mode machine rumbles onwards, as powerful as ever. They’ve more than earned their newfound stadium status in London.

 Depeche Mode play the London Stadium, E20 (0844 844 0444,depechemode.com) on June 3

vendredi 14 octobre 2016

20161014 - Depeche Mode - Tour booking available right now / Réservation des places pour la nouvelle tournée dès à présent

Pour rappel pour ceux que ça intéresserait, les places pour les concerts de Depeche Mode " Global Spirit Tour" sont ouvertes sur les billetteries classiques :  FNAC, ticketmaster, etc... depuis hier pour les places en France mais aussi à l'international. N'hésitez pas à réserver ;)
All venues from the new "Global Spirit Tour" of Depeche Mode are opened now, you can book your tickets



mercredi 12 octobre 2016

20161012 - Música - Depeche Mode no festival Nos Alive em 2017

Música - Depeche Mode no festival Nos Alive em 2017



O grupo vai editar um disco novo, "Spirit", na primavera, e depois fará uma digressão europeia.
Os britânicos Depeche Mode vão atuar em julho de 2017 no festival Nos Alive, Algés, onde apresentarão um novo álbum, foi hoje anunciado.
Tal como aconteceu em 2012 em Paris, a banda anunciou hoje, numa conferência de imprensa em Milão (Itália), que vai editar um novo álbum na primavera, intitulado Spirit, e que haverá uma nova digressão europeia, que passará por Portugal.
A 11ª edição do Alive decorrerá em Algés de 6 a 8 de julho de 2017. Os Depeche Mode regressam a este festival onde atuaram em 2013, quando editaram o álbum "Delta Machine". De acordo com a promotora, Everything is New, os Depeche Mode atuam no dia 8 de julho no Palco NOS. Os bilhetes já se encontram à venda nos locais habituais. O bilhete diário para o Nos Alive custa 59 euros, o passe para os três dias custa 129 euros.
Os concertos da anterior digressão dos Depeche Mode somaram 2,5 milhões de espectadores. A nova digressão, baptizada de "Global Spirit Tour", começa em maio e passará ainda pela Alemanha, Reino Unido, Suíça, Itália, França, Espanha, Rússia, Ucrânia, Polónia e Roménia.
Na conferência de imprensa, o vocalista, Dave Gahan, contou que o grupo passou os últimos anos a escrever e a gravar este álbum, que ainda não está terminado. Spirit, será o 14.º disco de originais do grupo, sucessor de Delta Machine, que atingiu os tops das tabelas em 12 países e o quinto lugar em outros 26. Spirit está a ser produzido por James Ford, membro fundador da banda Simian Mobile Disco, reponsável por discos de nomes como Florence and The Machine e Arctic Monkeys. Spirit será lançado no início de 2017 pela Columbia Records.
Os Depeche Mode, uma das referências da 'new wave' pop eletrónica dos anos 1980, são formados por Dave Gahan, Martin Gore e Andy Fletcher.

20161012 – Depeche Mode Plan New Album 'Spirit,' 2017 Tour - Rolling Stone

Depeche Mode Plan New Album 'Spirit,' 2017 Tour - Rolling Stone



Depeche Mode hope to release their 14th studio record, 'Spirit,' next spring, and follow that with a European tour.
Depeche Mode announced their new album Spirit will be released in spring 2017. The group will follow the release of the LP with a 32-date European Global Spirit Tour, which begins May 5th in Stockholm, Sweden and ends July 23 in Cluj, Romania.

"We're working on the album with a new team: it's produced by James Ford [of Simian Mobile Disco], and he's helped us to make what we feel is a very incredible sounding record," said Depeche Mode singer Dave Gahan. "He was able to really guide us."

Proceeds from the tour will raise money forcharity:water. "If you don't know charity:water, you should," guitarist Martin Gore said. "They're an amazing organization whose goal is to bring clean, safe drinking water to everybody on the planet. On the last tour, with our fans' help, we were able to raise over $1.4 million for charity:water. Those funds specifically brought clean water to people in Kenya, Ethiopia, and Rwanda."

On November 11th, Depeche Mode will also release Video Singles Collection, a retrospective that compiles the group's entire videography from 1981 to 2013. "It's been amazing to go back and relive all the experiences and memories these videos evoke after all these years," the band said in a statement. "It's incredible to have all our videos finally together in one place, and we're hoping our fans enjoy this journey through time as much as we did."

The last Depeche Mode album, Delta Machine, came out in 2013.

Depeche Mode Tour Dates

May 5 - Stockholm, Sweden @ Friends Arena
May 7 - Amsterdam, Netherlands @ Ziggo Dome
May 9 - Antwerp, Belgium @ Sportpaleis
May 12 - Nice, France @ Stade Charles-Ehrmann
May 14- Ljubljana, Slovenia @ Dvorana Stožice
May 17 - Athens, Greece @ Terra Vibe Park
May 20 - Bratislava, Slovakia @ Štadión Pasienky
May 22 - Budapest, Hungary @ Groupama Aréna
May 24 - Prague, Czech Republic @ Eden Aréna
May 27 - Leipzig, Germany @ Festwiese
May 29 - Lille, France @ Stade Pierre-Mauroy
May 31 - Copenhagen, Denmark @ Telia Parken
June 3 - London, United Kingdom @ London Stadium
June 5 - Cologne, Germany @ RheinEnergieStadion
June 9 - Munich, Germany @ Olympiastadion
June 11 - Hannover, Germany @ HDI Arena
June 18 - Zurich, Switzerland @ Letzigrund Stadion
June 20 - Frankfurt, Germany @ Commerzbank-Arena
June 22 - Berlin, Germany @ Olympiastadion
June 25 - Rome, Italy @ Stadio Olimpico
June 27 - Milan, Italy @ Stadio San Siro
June 29 - Bologna, Italy @ Stadio Rentao Dall'Ara
July 1 - Paris, France @ Stade de France
July 4 - Gelsenkirchen, Germany @ Veltins-Arena
July 6 - Bilbao, Spain @ BBK Live Festival
July 8 - Lisbon, Portugal @ NOS Alive Festival
July 13 - St. Petersburg, Russia @ SKK
July 15 - Moscow, Russia @ Otkritie Arena
July 17 - Minsk, Belarus @ Minsk-Arena
July 19 - Kiev, Ukraine @ Olimpiyskiy National Sports Complex
July 21 - Warsaw, Poland @ PGE Narodowy
July 23 - Cluj-Napoca, Romania @ Cluj Arena